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Les Etats concernés par la catastrophe ont mobilisé des avions et bateaux pour passer au crible le​s zones de recherche. Une quarantaine d'avions et 42 bateaux de 12 nationalités parcourent cet espace ​depuis le 8 mars. 

Les recherches navales et aériennes se poursuivent

Dans les premiers jours de la disparition de l'avion, ces recherches ont constitué un enjeu diplomatique particulièrement important pour Pékin. La zone de recherche se situait alors dans le golfe de Thaïlande, entre la Malaisie et le Vietnam, dans une zone proche des îles Spratleys revendiquées par cinq États dont la Chine, le Vietnam, les Philippines, le Brunei et l'Indonésie, où la surveillance militaire est importante. 

Le vice-directeur des affaires consulaires chinois Guo Shaochun s'était alors rendu rapidement à Kuala Lumpur à la tête d'un groupe de travail chinois et avait rencontré les représentants de familles chinoises. "Nous ne repartirons pas tant que nous n'aurons pas localisé l'avion", avait-il déclaré. Le Premier ministre chinois avait ajouté : "Je n'abandonnerai pas tant qu'il restera la moindre trace d'espoir et je demande un développement de la coopération avec les autres pays." 

Indice d'efficacité

Cette recherche en surface permet d'identifier d'éventuelles fuites de kérosène et des débris de l'avion. Mais plus de temps avance, plus ces indices peuvent être poussés en dehors de la zone de recherche fixée par les autorités malaysiennes.